Pas le temps pour un entretien d’embauche traditionnel, vous avez besoin de quelqu’un tout de suite.
Attention!
Vous être pressé, il vous manque un employé et vous vous dites que ça va bien aller pour cette fois, que votre intuition vous guidera. Vous êtes en face de votre candidat potentiel, dans le déni et stressé, une petite voix vous dit : ‘’prend-le, il nous faut quelqu’un!’’. Malheureusement et trop souvent, cela nous revient comme un boomerang et on se retrouve alors en gestion de crise.
Pour éviter cela, quelque soit la situation et la longueur de la période d’emploi, assurez-vous que les gens vivent une belle expérience humaine dans votre organisation.
1- Planifier longtemps d’avance.
Trop souvent, beaucoup d’employeurs improvisent lorsque vient le temps d’embaucher quelqu’un. Le secret pour trouver la perle rare réside dans la planification que vous aurez faite longtemps avant le moment ou le poste doit être comblé.
Ramassez-vous des CV. Bâtissez des banques de candidats potentiels en utilisant par exemple les médias sociaux, comme Facebook, LinkedIn et bien d’autres. Rencontrez ces candidats six mois à l’avance, gardez contact avec eux, réservez-les!
2- Assurez-vous que vos candidats potentiels partagent vos valeurs.
Demandez des références et prenez le temps de les contacter. Sinon, la première chose que vous réaliserez c’est que quelques jours plus tard, l’employé ne se présente pas un matin ou a tout simplement quitté sans avertir! Et vous vous retrouverez dans l’eau chaude!
Aujourd’hui, on rencontre de plus en plus cette problématique. il y a beaucoup plus d’emplois que de travailleurs présentement et malheureusement cela résulte en un désengagement de la nouvelle main d’œuvre.
C’est donc très important de vérifier les références, si l’ancien employeur vous dit que cette personne est très bonne mais qu’elle n’est pas fiable parce qu’elle ne rentre pas tous les matins au travail, elle ne sera pas plus fiable chez vous, elle ne changera pas.
Repérez les valeurs du candidat, vous voulez savoir s’il partage les vôtres, le respect et l’honnêteté par exemple, celles qui sont essentielles à bonne marche de votre entreprise. Si la personne manque d’expérience, elle peut toujours apprendre.
3- Faites vivre une expérience à vos employés.
Assurez-vous de ne pas abandonner vos recrues sur le terrain, qu’elles ne soient pas seules. C’est très important pour votre image de marque, surtout si elles ne sont que de passage dans l’entreprise, il faut les animées ces personnes là, qu’elles aient vécues une belle expérience.
Aujourd’hui le travail doit être une expérience de vie.
Quelle expérience de vie vous offrez aux gens? Qu’est-ce qu’on dit de vous dans le marché après avoir travaillé chez vous?.
Diane Lépine
Fondatrice Vigie Coaching
Lire la suite
Comment augmenter sa productivité grâce à la tomate Pomodoro.
Ayant rencontré plus de 1000 entrepreneurs depuis plus de 10 ans, j’ai constaté plusieurs sources de soucis qui les préoccupent.
Trois sujets nous titillent ou nous empêchent carrément de se sentir bien et de faire de beaux dodos:
– L’argent ;
– le temps ;
– et les ressources humaines.
Focus! Focus! Focus!
Oui, mais comment le garder, resté concentrer et être plus productif?
D’abord, il faut être réaliste.
Vous êtes tellement travaillant, courageux, déterminé, enthousiaste.
Cependant, mieux vaut faire une tâche importante et la terminer afin de nourrir le sentiment d’avoir fait avancer les choses plutôt que de tirer partout et avoir le sentiment que rien n’avance.
C’est essentiel de célébrer pour le cerveau.
Cela augmente notre confiance, notre estime de nous-même et ce faisant nos capacités.
Célébrez ce qui est fait!
Questions de coach?
Si vous aviez plus de temps, que désiriez-vous réaliser ou compléter?
Pourquoi?
Alors, faites-le.
D’abord mettre la tâche à votre agenda.
Ce qui n’est pas à notre agenda se réalise rarement.
Ne laissez personne vous déranger.
Ayez la ferme conviction que ce que vous vous apprêtez à faire est important. Pas urgent, mais important, constructif, pertinent et significatif.
Aujourd’hui, je vous présente un petit truc très efficace afin de profiter au maximum de votre précieux temps.
La tomate qui rend plus productif
Inspirée de la tomate en cuisine, cette technique fut inventée par Francesco Cirillo dans les années 1980 et mise à jour en 1992, cette démarche systématique s’avère simple, efficace et permet d’augmenter votre productivité.
Pomodoro 101
Cette technique consiste à consacrer 25 minutes à une tâche (appelée tomate) à la fois et à prendre une pause de 5 minutes par la suite. Comment cela fonctionne-t-il plus concrètement?
3 raisons de l’utiliser
En général les gens prennent une à deux semaines avant de s’habituer à cette technique de gestion du temps. Toutefois, vous constaterez plusieurs bénéfices à long terme, vous serez:
Les meilleurs applications pomodoro
Si vous êtes un adepte de technologie, il existe plusieurs applications mobiles pomodoro qui sont disponibles sur le IStore, sur le Google Play Store et sur le web. Voici les meilleurs outils qui vous permettent de calculer le temps de chacune de vos actions:
On veut des résultats!
Vous désirez analyser davantage vos résultats d’utilisation de cette technique? N’hésitez pas à prendre des notes! Quelle est la tâche importante qui vous titillait et que vous venez enfin de réaliser? À quel moment êtes-vous le plus productif? Les spécialistes disent que nous avons une baisse d’énergie à 14h (indépendament dece que l’on a mangé à l’heure du lunch) ainsi qu’une autre à 19h. Choisissez donc le meilleur moment pour vous. Soyez à l’écoute de l’énergie dont vous disposez au moment où vous vous consacrez à une tâche plus complexe, stratégique, structurante ou payante. Soyez bon pour vous!
Vous savez,on ne gère pas le temps… Il se fout complètement de nous. Il avance, imperturbable, seconde après seconde. Par contre, nous pouvons gérer nos priorités et produire des résultats concrets plus efficacement pour notre bien-être et celui de notre entreprise.
Vous avez besoin d’aide? Soyez bon pour vous. Faites-vous accompagner d’un coach professionnel certifié et gagnez! Arrivez enfin à réaliser ce que vous désirez pour vous sentir mieux et atteindre vos prochains objectifs d’affaires.
N’oubliez pas, un éléphant, cela se mange une bouchée à la fois. Attention aux indigestions. C’est mauvais pour le coeur, le vôtre et celui de votre entreprise.
Avez-vous votre propre système de productivité hormis travailler plus? Si c’est le cas, nous vous invitons à nous en faire part dans la section commentaires de l’article!
À la prochaine,
Savez-vous plantez des choux?
Gestion : Argent
Toutes les recherches s’entendent pour dire que la première motivation des entrepreneurs qui réussissent en affaires, n’est pas l’argent.
Mais on s’entend également pour dire que les entrepreneurs qui réussissent ont constamment leurs finances sous le radar. Ils ont développé au fil des ans une solide connaissance
Et vous? Quel sorte de jardin financier êtes-vous en train de cultiver.
La récolte à l’automne de votre vie sera-t-elle alignée sur vos objectifs de vie?
De là la question : Savez-vous planter des choux?
Tout le monde ne peut avoir la chance du Capitaine Piché et réussir à survivre à un vol plané sans essence. (sans argent)
L’indépendance financière
Comme le dit Robert k Kayosaki dans son célèbre livre (Père riche, père pauvre).
Ceux qui ont réussi à développer l’indépendance financière ont utilisé les 4 centre de revenu suivant
* Revenus passifs. Faire de l’argent en faisant dodo. Ou faire travailler son argent pour soi.
L’ignorance de l’argent est un danger qui peut s’avérer mortel en affaires
Voici des éléments pour vous assurer d’une belle récolte fructueuse à l’image de la vie que vous désirez pour vous et ceux que vous aimez..
Combien valez-vous?
Quelle sorte de vie matériel et financidère vous et votre entreprise pouvez vous permettre?
Avez-vous des objectifs clairs et précis?
Ëtes-vous inquiets par rapport à l’argent?
Personne ne peut tout connaître.
Mais il s’agit de notre responsabilité de s’entourer pour tout savoir, surtout sur l’argent.
Les centaines d’entrepreneurs que nous avons eux l’honneur d’accompagner en coaching d’affaires depuis les 10 dernières années, doublé de nos propres expériences nous confirme que l’argent, est l’un des trois principaux sujets qui cause du stress et de l’anxiété aux entrepreneurs.
Ne restez pas seul!
Apprenez à planter des choux.
Écoutez aussi nos chroniques « Entrepreneur libre » avec nos collègues Alex Migneault Jacques Hallé, diane Lépine et leurs invités, entrepreneurs et spécialistes du monde entrepreneurial.
Vous voulez-faire le bilan, prendre une petite pause pour recadrer vos objectifs tant personnel que ceux de votre entreprise.
Suivez notre Programme Osez pour réussir!
Vous en sortirez que plus calme et « crinqué » que jamais.
Un sujet vous intéresse. Vous aimeriez partager un apprentissage qui pourrait améliorer la vie de vos pairs entrepreneurs.
Écrivez-nous à : info@vigiecoaching.com
Lire la suite
Savez-vous quoi? Je réalise qu’avec le temps ma vision du leadership a profondément évolué!
À 20 ans, j’avais besoin de m’affirmer, de me développer et d’atteindre des objectifs individuels. Je me souviens de mes années universitaires, où je me forgeais les compétences et les connaissances pour devenir un ingénieur. Mes objectifs étaient clairs : obtenir mon diplôme et intégrer une entreprise-phare du moment. Ce fût le cas! À peine mon diplôme en poche, je dirigeais une équipe de concepteurs chez PSA Peugeot-Citroën; je savais développer de nouveaux moteurs, faire aboutir mes projets, définir les priorités et prendre les décisions. 20 ans plus tard, je me demande si cela faisait de moi un leader?
Aujourd’hui, je crois qu’au-delà des compétences, des connaissances, ce qui fait des gestionnaires, des leaders reconnus, c’est leur capacité à porter un regard 360. Alors, posez-vous la question : quand j’avance dans la réalisation d’un projet, où porte principalement mon regard?
Devant ? Parce que je sais où je vais, c’est limpide, et j’avance d’un pas décidé. Les objectifs sont clairs, la mission et les valeurs partagées et la stratégie adoptée de tous.
Sur les côtés? Parce que je m’entoure de collaborateurs complémentaires, compétents, engagés. Parce que je reconnais les différences et capitalise sur les forces de chacun.
Derrière? Parce que je m’assure de ne laisser rien ni personne, de côté. Mon soutien est nécessaire, productif, mobilisateur, réconfortant et parce que je suis fière de la trace que je laisse.
Finalement je crois profondément que l’essence du leadership tient dans le fait qu’il s’agit d’avancer et de construire ensemble et en équipe, parce que, comme me le disait un collègue, ‘’même si tout seul, on part plus vite, ensemble on va plus loin!’’
Et vous? Avez-vous vraiment une vision 360? Quelle facette de votre leadership souhaiteriez-vous développer?
Cécile Condé
Coach professionnelle certifiée
Il existe plusieurs possibilités pour retrouver le chemin de la rentabilité :
Je le répète, vous êtes la poule qui pond les oeufs d’or. Si vous ne vous sentez pas bien, toutes vos activités et résultats seront teintés de ce mal-être!
Les athlètes olympiques ne se rendent jamais sur le podium sans un coach. Pourquoi en tant qu’entrepreneurs-athlètes devriez-vous naviguer seul, sans quelqu’un pour vous appuyer, vous écouter, vous accompagner vers votre podium, votre succès?
Soyez bon avec vous. Donnez-vous toutes les chances de vivre le rêve d’affaires que vous vous étiez donné ou faites-vous accompagner pour le redéfinir et ce faisant vous redonner énergie et plaisir!
Une amie qui a créé deux fois des entreprises qui l’ont rendue millionnaire me disait l’autre jour, « Diane, les affaires c’est deux choses : du FUN et du CASH. Et n’inverse pas les deux, sinon, tu piques du nez! »
Et vous, avez-vous du plaisir?
Donnez-moi de vos nouvelles. Parlez-moi de vos défis!
Depuis 25 ans, c’est plus de 600 entrepreneurs que j’ai eus l’honneur d’accompagner.
J’en ai vu et entendu de toutes les sortes. Des souffrances, des rêves, du stress, des questions, des conflits entre associés ou familiaux, de grandes joies. Encore une fois, faites-vous accompagner pour avoir du plaisir et atteindre vos cibles de performance.
J’espère vous lire bientôt!
Diane Lépine, PCC
Coach d’affaires professionnelle
Membre de la Fédération Internationale des coachs (ICF)
Coach leader et coach mentor à l’école Coaching de gestion
Conceptrice et animatrice du Programme Osez pour réussir!
Présidente du Cabinet de coach professionnel
Vigie Coaching.com
Salut les capitaines!
Dormez-vous en paix, avec la fin d’année qui approche? Quels sont vos indices de succès?
Êtes-vous à la barre des commandes ou est-ce votre comptable qui vous dira si tout va bien rendu au mois de mars en finalisant vos états des résultats, bilan et rapport d’impôt d’entreprise et personnel?
Les entrepreneurs me répondent tellement souvent :
« Eh bien… J’attends les États des résultats de mon comptable pour voir où on est rendu…»
AHHHHHHH! Je crie en m’arrachant les cheveux.
Où est le capitaine? À qui appartient votre entreprise? Au comptable?
Accepteriez-vous d’embarquer dans un avion où le pilote n’aurait aucun tableau de bord?
Un pilote qui ne saurait ni à quelle hauteur il se trouve, ni son niveau d’essence, n’ayant aucune boussole lui indiquant sa direction…
AHHHHHHH! Cauchemar!
Le commandant Robert Piché n’avait peut-être plus d’essence, mais tous ses tableaux de bord fonctionnaient, au moins! Ainsi, il a pu DIRIGER son avion et sauver tout le monde à bord. Ainsi que lui-même.
Donnez-moi tout de suite les chiffres de votre fin d’année.
Si vous ne le pouvez pas, je vous invite, pour votre tranquillité, votre sécurité familiale, votre santé et votre avenir, à vous faire coacher pour améliorer vos connaissances, vous donner de bons tableaux de bord, en temps réel, afin de piloter votre entreprise en paix et avoir en mains les bonnes informations pour prendre les bonnes décisions.
Diane Lépine, PCC
Coach d’affaires professionnelle
Membre de la Fédération Internationale des coachs (ICF)
Coach leader et coach mentor à l’école Coaching de gestion
Conceptrice et animatrice du Programme Osez pour réussir!
Présidente du Cabinet de coach professionnel
Vigie Coaching.com
Pour contrer le déficit entrepreneurial, il faut s’attaquer à la base du problème. Partant du fait que toute entreprise commence par un rêve, l’épine dorsale est donc la suivante : donner la liberté aux entrepreneurs en devenir de rêver. Est-ce que ce rêve sera alimenté ou assassiné? C’est la question à régler dans un second temps. Et la réponse va dépendre des valeurs et des croyances dont nous avons traité plus haut.
Dans ma tribu primaire, on croyait au travail, au fait de travailler fort soi-même et de ne pas s’en remettre aux autres. On croyait qu’on pouvait faire de l’argent, mais peu, car la génération d’avant avait vécu très pauvre. Mais aujourd’hui, les aspirations peuvent être grandes, très grandes…
Encore faut-il être en mesure d’y croire. C’est pourquoi il s’agit d’un travail qui commence dès l’enfance. On doit travailler ensemble à faire rêver nos enfants, à leur montrer des exemples de réussite, à leur dire que : « un jour un entrepreneur a eu cette idée de génie de créer ces blocs Lego avec lesquels tu t’amuses ». Il faut leur montrer à l’école, les rejoindre sur Internet, les inspirer avec des modèles…
Il était une fois Lise Watier, une des plus grandes femmes au Canada… Danièle Henkel, dragonne et femmes d’affaires émérite du domaine médico-esthétique… Denise Verreault, première femme propriétaire d’un chantier maritime au Canada … nos enfants ont besoin qu’on leur raconte des histoires pour les faire rêver… Et croire, car tout part d’une croyance.
Quand quelqu’un croit qu’il peut réaliser son rêve, il se sent bien. Et s’il se sent bien, il peut réaliser son rêve. C’est l’essence de ce texte et la clé pour surmonter le déficit entrepreneurial.
Vigie Coaching accompagne des entrepreneurs-athlètes à réaliser leurs rêves et atteindre un niveau supérieur de liberté et de prospérité.
Lire la suiteLe déficit entrepreneurial est tout simplement la conséquence de nos croyances collectives devenues personnelles, héritées de ceux qui ont fait figure de parents, d’éducateurs, ceux qui ont constitué notre tribu primaire et qui nous ont fait miroiter nos plus grandes blessures : le rejet, l’abandon, le besoin d’être aimé…
Pour ces raisons, on va accepter d’être domestiqués, on va adhérer aux valeurs de notre tribu, aux mêmes sports, à l’argent… tout cela au-dessus de l’amour.
Combien de fois ai-je entendu cette phrase de la bouche d’un parent qui par amour forçait son enfant brillant à devenir avocat, médecin… alors que ce dernier était peut-être le prochain Pierre Péladeau, la prochaine Céline Dion…
On est convaincu que c’est par amour qu’on impose nos valeurs à nos enfants. Mais trop souvent, on oublie de les écouter. N’était-ce pas Serge Fiori et Harmonium qui disaient « On a mis quelqu’un au monde, on devrait peut-être l’écouter? »
Ce qui est ironique, c’est que notre société d’entrepreneurs est elle aussi au stade de l’enfance. Les principes applicables à une famille sont aussi applicables à l’échelle collective de la société québécoise.
J’ai grandi dans une famille où l’on a refusé de croire que nous n’avions pas de pouvoir, que tout était dans les mains ou de Dieu ou du gouvernement, qu’il fallait avoir un bon emploi, être salarié et avoir un bon fond de pension…
Je remercie la vie d’être née dans une famille où l’on croyait à la passion et la liberté, à la possibilité de réaliser ses rêves et au revenu plutôt qu’au salaire.
Trop souvent, malheureusement, j’accompagne des entrepreneurs qui ont été domestiqués avec des croyances limitantes desquelles je les aide à s’affranchir pour connaître le succès dont ils ont toujours rêvé.
Lire la suiteDans « Comment je vois le monde », Albert Einstein disait ceci : « […] le bon sens des hommes est systématiquement corrompu. Et les coupables se nomment : école, presse, monde des affaires, monde politique. »
Si l’on applique cette pensée au déficit entrepreneurial, on pourrait pointer les mêmes « coupables » : école, presse, politique… et le monde des affaires lui-même!
Je ne dis pas qu’Einstein a tort, mais quand on accuse les autres ou le système de son malheur ou de ses échecs personnels, nous ne sommes pas mieux que ceux que l’on accuse.
Je préfère l’approche des Quatre Accords Toltèques, qui propose des solutions pour passer des êtres domestiqués que nous sommes à des êtres souverains et prospères, en passant avec soi-même, pas avec les autres, quatre accords visant à briser nos croyances limitantes. Des croyances que nous développons depuis l’enfance, qui distordent la réalité et nous maintiennent dans la souffrance, à force de conditionnements culturels et éducatifs sur ce qui est juste ou faux, bon ou mauvais, beau ou laid et de projections personnelles à la « Je dois être gentil », « Je dois réussir »…
La recette idéale pour se créer une image réelle de nous-mêmes, entrepreneurs, et du monde que l’on peut rendre plus prospère, maintenant? Appliquer au monde de l’entrepreneuriat les Quatre Accords Toltèques :
Sans oublier le cinquième Accord Toltèque, principalement pertinent chez les entrepreneurs :
Et vous, quels accords avez-vous signés?
Lire la suiteIl était une fois…
De nouvelles statistiques nous apprenant sensiblement la même chose : le Québec a moins la fibre entrepreneuriale que le reste du Canada (ROC), tout comme les francophones comparativement aux anglophones… des Québécois se montrant plus froids en ce qui a trait aux valeurs d’ambition, de succès financier et de goût du risque…
La réalité, décrite dans le quotidien Le Devoir, est la suivante : d’ici 2020, le Québec aura un déficit entrepreneurial : il manquera 38 000 gens d’affaires prêts à prendre la relève d’entreprises existantes.
Dans un article d’octobre 2012, Éric Chouinard, cofondateur de iWeb, évoque quelques raisons pour expliquer ce phénomène : le complexe du « p’tit pain », la relation ambigüe avec la notion de richesse, le culte de la médiocrité… M. Chouinard parle aussi du syndrome de l’imposteur, forme de doute maladif qui consiste essentiellement à nier la propriété de tout accomplissement personnel.
Sans oublier ceux qui se plaignent du manque d’argent et de temps, de la complexité administrative, légale ou fiscale… Ça ne finit plus!
C’est pourquoi le Regroupement des jeunes chambres de commerce (RJCCQ) a proposé l’année dernière 10 solutions pour contrer le déficit entrepreneurial…
Qu’en est-il? Le temps nous le dira. Reste que les solutions préconisées n’interviennent auprès de l’entrepreneur potentiel qu’à l’âge adulte sauf une seule exception à l’adolescence. Mon opinion?
Tout se joue dès l’enfance!
J’en parle dans un prochain article!
Lire la suite