« Nous sommes ce que nous faisons
de manière répétée » – Aristote
Notre vie, notre bien-être et les résultats que nous obtenons dans notre vie sont le miroir de nos actions. Eh bien oui!
Plus de 40% de nos actions, certains auteurs disent jusqu’à 80%, sont automatiques. Ce sont devenues des habitudes, des routines. Et elles se réalisent à notre insu, pour le meilleur, et pour le pire.
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LES HABITUDES DÉCLENCHENT LES ÉMOTIONS…
Le 22 septembre dernier, dans la cadre du programme Osez la Conscience, c’était moi, Diane Lépine, la conférencière invitée! Recherches et multiples exemples à l’appui, nous sommes montés en Vigie pour prendre conscience de ces habitudes et surtout, de leurs impacts dans notre vie d’entrepreneur.
Concentrés sur le positif des bonnes habitudes, ensemble, on a vu comment celles-ci se créaient.
1. Créer un stimulus fort pour déclencher une bonne habitude
2. Favoriser une routine propice au succès
3. Identifier une récompense très satisfaisante
Par exemple, vous aimeriez développer l’habitude de faire plus d’exercice. Un classique!
1. Votre stimulus pourrait être de préparer toutes vos affaires la veille. Au lever, vous enfilez naturellement vos espadrilles. Pour ne pas vous mentir, ayez des comptes à rendre! Dites à vos proches que vous voulez développer cette nouvelle habitude. Inscrivez-vous à un groupe, mettez vos résultats dans une application web.
2. Faites votre activité à heures régulières, des journées précises. Une fois la routine bien en place et maintenue, votre corps sera déstabilisé si vous tentez d’y déroger.
3. Votre récompense! Monter les escaliers sans être essoufflé, participer à un marathon, acheter de nouveaux vêtements, vous sentir bien!
Un rien peut tout changer. Ne prenez pas de résolutions, créer des habitudes! L’habitude est le pilote automatique de notre cerveau. Les bonnes habitudes créent le bon état d’esprit, les bons comportements et favorisent la culture des organisations.
Merci à tous les participants du programme Osez la Conscience qui, de par leur courage, ont le désir de se choisir!
Appelez-nous: (418) 660-6429
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Pourquoi? Parce que c’est bien difficile pour un gestionnaire ou un propriétaire d’entreprise d’aider ses employés à être plus heureux au travail si lui-même a des inquiétudes, des peurs et des difficultés de communication.
Depuis 15 années déjà, en tant que coach d’affaires, j’ai choisi d’accompagner principalement les entrepreneurs.
Je leur dis souvent: “Vous êtes la poule qui pondez les œufs d’or! Si la poule ne va pas bien… ce sera difficile d’être présent et bienveillant pour vos employés.”
Prenez soin de vous.
Dans un article paru récemment dans Le Journal Les Affaires, on rend aux coachs certifiés leurs lettres de noblesse. Le mot “coach” est si galvaudé depuis un moment! Probablement que le phénomène s’est accentué au cours des deux dernières années, la détresse des gens étant malheureusement plus présente…
Gardez en tête qu’il existe une organisation mondiale qui s’appelle ICF et qui vous garantit que la personne qui vous accompagnera possède une formation solide, éprouvée et basée sur les neurosciences.
Un coach d’affaires certifié se donne le mandat de vous aider à avancer vers vos objectifs. Assurez-vous d’être entre bonnes mains. Le processus d’accompagnement demande qu’on discute d’éléments sensibles, de vos émotions. Celui-ci devra établir une relation de confiance avec vous.
Ne restez pas seul. Ne portez pas seul le poids du bonheur de vos employés. Si vous voulez en parler, je vous invite à lire l’article et à prendre un rendez-vous exploratoire avec moi pour parler de vos défis.
Diane Lépine, PCC
Coach certifiée ICF
Vigie Coaching
Lire l’article du Journal Les Affaires
Diane Lépine, PCC, coach d’affaires depuis 30 ans, a grandi dans une famille d’entrepreneurs. Elle a accompagné des milliers d’entrepreneurs et s’est donnée comme mission d’aider ces derniers dans des étapes de solitude, d’incertitude, de décisions difficiles, de défis de communication et de leadership dans des contextes de croissance, de repositionnement, de difficultés de gestion de transfert ou de relève.
Faites vous accompagner par Vigie Coaching pour relever ce défi.
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La mobilité de la main-d’œuvre est à la hausse depuis quelque temps, tout comme le besoin d’employés dans tous les domaines. Devant autant de choix, les travailleurs ont beau jeu pour poser leur candidature où on leur offre les meilleures conditions.
Comment s’y prendre pour attirer et retenir ses ressources ? Quelles sont les raisons de cet exode de savoirs et de compétences ? Un employé qui quitte est un indicateur d’insatisfaction. Un roulement régulier de nouvelles recrues peut signifier un souci de santé de l’entreprise qu’il faut adresser, mais où le bât blesse-t-il ? Au niveau des attentes de part et d’autre ? De la sélection au moment de l’entrevue ?
Former un employé coûte temps et argent. Au-delà de ce fait, une équipe stable est un élément-clé pour assurer votre compétitivité, votre productivité et votre image. Savoir donner envie à vos employés de rester avec vous est un facteur important au sein d’une entreprise qui vise la pérennité.
D’abord, quand chacun connaît son rôle au sein de l’entreprise, le résultat est visible dans un travail d’équipe productif et centré sur l’accomplissement. Aussi, la stabilité d’une équipe, outre la camaraderie engendrée, est rassurante. Le moral à la hausse stimule la productivité. Tandis qu’un nouvel employé représente de l’investissement en formation et en temps.
Le principe est simple. Malgré tout, le mouvement de main d’œuvre est en hausse. Pourquoi ? Autrefois, les causes invoquées étaient majoritairement la stagnation sur un poste insatisfaisant, un mauvais employeur ou une meilleure opportunité. De nos jours, le salaire, l’équilibre de vie et de meilleures conditions sont les causes les plus répandues. Le marché du travail revit les années ’60 où c’est l’employé qui a le haut du pavé. Voici quelques raisons qui donnent envie de changer de cadre de travail :
Toutes ces raisons créent un cercle vicieux. Un moral à la baisse crée une diminution de rendement qui affecte l’équipe et cause des défections. La roue repart à grands frais pour la réembauche et redémarrer un nouveau cercle.
Comment briser ce cycle ? Voici 9 stratégies gagnantes :
Simple, mais logique, la meilleure façon de retenir un employé est d’éviter de lui donner envie de quitter.
Quand on est heureux, pourquoi aller voir ailleurs ?
Un employeur proactif limite ses pertes. Pour une entreprise en santé, il est important d’agir avant l’annonce d’une démission. La décision du départ s’est prise après quelques temps de réflexion. Les promesses de dernier recours resteront plus que probablement lettre morte. Mais tout n’est pas perdu. En cas d’exode, passer en entrevue un employé qui quitte révèle ce qui est à améliorer dans la gestion des ressources humaines.
Et ceux qui restent ? Eux aussi ont leur mot à dire sur ce qui les retient. Félicitez-vous pour ce que vous faites de bien pour vos précieux employés !
Diane Lépine, PCC, coach d’affaires depuis 30 ans, a grandi dans une famille d’entrepreneurs. Elle a accompagné des milliers d’entrepreneurs et s’est donnée comme mission d’aider ces derniers dans des étapes de solitude, d’incertitude, de décisions difficiles, de défis de communication et de leadership dans des contextes de croissance, de repositionnement, de difficultés de gestion de transfert ou de relève.
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Comme le mentionne Stephen. A. Jarilowsky dans la revue Gestion · volume 33 / numéro 3 · Automne 2008 Leadership et argent : « Au début l’argent et le leadership sont neutres. Le premier dépend de l’autre. » L’argent ne prend aucune décision et n’a aucune émotion. Ce qui peut devenir dangereux, c’est lorsqu’un leader est préoccupé par l’appât du gain à court terme. Cela peut empêcher, entre autres, de réaliser la vision de l’entreprise et surtout, de démobiliser toute une équipe.
Vous savez, je veux aller au ciel. Tout le monde veut aller au ciel. Tiens! comme la chanson tout le monde veut t’aller au ciel, oui mais personne ne veut mourir…
Bref, au Québec, la religion particulièrement, nous a fait développer des croyances très limitantes face à l’argent. Jugement. Culpabilité. Nous voulons en faire, mais pas trop. Il faut être certain d’aller au ciel, des fois qu’il existerait! Alors, en coaching, avec nos entrepreneurs, nous faisons face à plusieurs croyances. Nous pourrions entendre des expressions telles que né pour un petit pain.
Je demande souvent à mes clients: comment parlait-on de l’argent chez toi, dans ta famille, lorsque tu étais petit? Je vous avoue que souvent, je trouve la source de la situation financière de l’entreprise dans les croyances qui habitent et animent encore le leader. Alors, certains me répondent: « Ah! chez nous, seigneur! On parlait pas de ça! Il fallait pas dire un mot sur l’argent. » D’autres répondent: « Ma mère disait: hey! penses-tu que l’argent ça pousse dans les arbres? » Ou alors: « Me prends-tu pour une banque à pitons? » ou encore « Hey! Lui y’en a bin trop! Ça doit être un maudit bandit! ».
Alors qu’elle est votre relation avec l’argent?
L’argent, c’est de l’amour. Alors, vous savez, comme on dit aussi dans la bible: « Aime ton prochain comme toi-même. » Vous, entrepreneurs, travaillez tellement fort, qu’il n’y a aucune gêne à jouir de ce vous rapporte votre entreprise. Si vous aimez les tableaux, si vous aimez les voyages, si vous aimez les bateaux, si vous voulez vous donner une maison, vous donner un chalet. Vous pouvez. Aussi, vous savez, on voit présentement beaucoup les plus grands riches du monde, les leaders, comme ceux qui ont leur étoile à Hollywood sur le trottoir. Et bien il y a une condition, à travers multiples conditions, pour pouvoir avoir son étoile là-bas. Il faut, entre autres, avoir fait un don d’au moins 1 million de dollar à une cause humanitaire. Que ce soit l’environnement, l’eau, la maladie, le sport, la culture, ou autres. Il est donc important de développer notre capacité de donner, car un bon leader sait donner et aussi recevoir. Alors, êtes-vous capable de recevoir beaucoup d’amour? Beaucoup d’argent? Parce que si vous n’êtes pas capable d’en recevoir vous-même, comment allez-vous faire pour accueillir de faire beaucoup de profits dans votre entreprise? Et c’est là que j’entends parfois aussi des clients qui disaient: « Je veux juste faire un petit peu plus d’argent » et qui sont gênés de vouloir faire beaucoup d’argent On ira pas loin avec des sous!
Quelle sorte de moteur l’argent est-il pour vous, dans votre vie? Quelle sorte d’émotion, de pression, de possibilité ou d’attitude vous fait-elle avoir? Dans nos formations ou en coaching individuel, nous abordons la question de l’argent sans aucun jugement, parce que nous savons qu’au Québec, nous avons souvent des croyances qui sont limitantes et qui viennent vraiment impacter notre leadership par rapport à l’argent.
Vous aimeriez en discuter en confidentialité? L’argent vous apporte un trop grand stress? Alors n’hésitez pas à vous faire accompagner. Mes clients me disent souvent: « Diane, t’es comme une psychologue pour les entrepreneurs. » Oui, c’est un peu ça. Nous sommes des psychologues pour des gens qui ont un défi à relever.
Diane Lépine, PCC, coach d’affaires depuis 30 ans, a grandi dans une famille d’entrepreneurs. Elle a accompagné des milliers d’entrepreneurs et s’est donnée comme mission d’aider ces derniers dans des étapes de solitude, d’incertitude, de décisions difficiles, de défis de communication et de leadership dans des contexte de croissance, de repositionnement, de difficultés de gestion de transfert ou de relève.
L’argent et votre relation avec l’argent représente un défi? Appelez-nous en toute confidentialité: (418) 660-6429. Nous allons en parler. Ne restez pas seuls.
Ce billet est inspiré de l’article de Stephen. A. Jarilowsky dans la revue Gestion · volume 33 / numéro 3 · Automne 2008 Leadership et argent.
Lire la suiteJe voudrais aujourd’hui aborder un sujet délicat, qui relève d’observations et de statistiques personnelles. Cela fait maintenant 30 ans que j’accompagne et suis des entrepreneurs dans différents milieux, dans leurs évolutions professionnelles et dans leurs objectifs. 70% d’entre eux sont atteint de TDAH, avec ou sans hyperactivité.
Je me suis souvent demandé pourquoi il y avait tant d’entrepreneurs victimes de cet état de santé qui, malgré tous les obstacles, réussissent dans leurs différents domaines. Certainement parce que la moitié d’entre eux souffrent de surdouance. Qu’est-ce que cela signifie ? Un cerveau débordant d’idées, de concepts, de créations. Un cerveau jamais mis sur pause, toujours en action pour imaginer de nouvelles choses.
Leur scolarité a été plus mouvementée que paisible, et rythmée par de nombreux échecs engendrant la frustration. Les professeurs n’allaient pas assez vite pour eux et ne savaient pas comment garder leur attention sur un sujet ou un travail. Alors ils s’amusaient, bougeaient, parlaient pour se stimuler et sortir de l’ennui de la classe.
Leur adolescence a été rythmée par des remarques telles que « perturbants », « turbulents », « pas dans la norme », de quoi bien donner confiance en soi à un jeune. Alors ils se ressaisissent, apprennent à se débrouiller seul car ils ont compris qu’on ne leur fera pas de cadeau, tracent leur propre chemin et choisissent leur voie.
En devenant adulte, la situation ne devient pas forcément plus facile. La gestion du stress, des horaires, de l’alimentation et de toutes autres sources de stimulations reste un défi quotidien.
Donc oui, si tu as un TDAH, tu es différent. Ton cerveau ne fonctionne pas comme ceux de ton personnel. Mais ça ne fait certainement pas de toi une personne moins capable ou moins méritante. Tu dois te reconnaître comme la personne unique et incroyable que tu es. Tu as le droit de demander de l’aide à ton entourage professionnel pour qu’ils t’aident à rester concentré et te focaliser, comme si on mettait un bol devant une machine à popcorn pour attraper toutes les idées qui en sortent. Car avoir des idées est une chose, mais tu auras besoin de ton équipe pour les réaliser.
Au Canada, nous sommes les grands gagnants de brevets. Nos entrepreneurs sont imaginatifs, créatifs, consciencieux, énergiques et ambitieux. Le grand défi, c’est d’aller au bout d’un projet, de réaliser une idée, d’accomplir un rêve. Et surtout de bien le communiquer à ses ressources humaines.
Lorsque je suis face à une personne avec un TDAH en coaching, je commence toujours par l’analyser via son comportement et sa manière de s’exprimer. Les personnes atteintes de TDAH parlent souvent très vite et passent d’une idée à l’autre, sans forcément de lien logique entre les deux, il faut donc prendre le temps de les écouter.
Je souhaite principalement parler des mandats de relève, car ils ne sont pas assez évoqués. Ces entrepreneurs sont géniaux, stimulants, dynamiques. Mon but est de les aider à comprendre qui ils sont, quelles sont leurs forces en tant qu’entrepreneur et en tant que TDAH, à leur réapprendre à s’accueillir eux-mêmes car ils le méritent. Petit pas par petit pas, petit plan d’action par petit plan d’action.
Vous avez besoin d’aide? La transaction ou même son idée n’avance pas?
Diane Lépine, PCC, coach d’affaires depuis 30, a grandi dans une famille d’entrepreneurs. Elle a accompagné des milliers d’entrepreneurs et s’est donnée comme mission d’aider ces derniers dans des étapes de solitude, d’incertitude, de décisions difficiles, de défis de communication et de leadership dans des contexte de croissance, de repositionnement, de difficultés de gestion de transfert ou de relève.
Découvrez les bonnes questions à vous poser avant d’entreprendre un tel processus. Êtes-vous prêts?
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