Toute entreprise commence par un rêve… toujours faut-il se permettre de rêver!

12 décembre 2016 | blogue

Pour contrer le déficit entrepreneurial, il faut s’attaquer à la base du problème. Partant du fait que toute entreprise commence par un rêve, l’épine dorsale est donc la suivante : donner la liberté aux entrepreneurs en devenir de rêver. Est-ce que ce rêve sera alimenté ou assassiné? C’est la question à régler dans un second temps. Et la réponse va dépendre des valeurs et des croyances dont nous avons traité plus haut.

Dans ma tribu primaire, on croyait au travail, au fait de travailler fort soi-même et de ne pas s’en remettre aux autres. On croyait qu’on pouvait faire de l’argent, mais peu, car la génération d’avant avait vécu très pauvre. Mais aujourd’hui, les aspirations peuvent être grandes, très grandes…

Encore faut-il être en mesure d’y croire. C’est pourquoi il s’agit d’un travail qui commence dès l’enfance. On doit travailler ensemble à faire rêver nos enfants, à leur montrer des exemples de réussite, à leur dire que : « un jour un entrepreneur a eu cette idée de génie de créer ces blocs Lego avec lesquels tu t’amuses ». Il faut leur montrer à l’école, les rejoindre sur Internet, les inspirer avec des modèles…

On ne parle pas suffisamment de nos modèles d’affaires.

 

Il était une fois Lise Watier, une des plus grandes femmes au Canada… Danièle Henkel, dragonne et femmes d’affaires émérite du domaine médico-esthétique… Denise Verreault, première femme propriétaire d’un chantier maritime au Canada … nos enfants ont besoin qu’on leur raconte des histoires pour les faire rêver… Et croire, car tout part d’une croyance.

Quand quelqu’un croit qu’il peut réaliser son rêve, il se sent bien. Et s’il se sent bien, il peut réaliser son rêve. C’est l’essence de ce texte et la clé pour surmonter le déficit entrepreneurial.

Vigie Coaching accompagne des entrepreneurs-athlètes à réaliser leurs rêves et atteindre un niveau supérieur de liberté et de prospérité.